La mondialisation et la globalisation nous poussent à aller à la rencontre de nouveaux concepts tel le low cost sourcing. Emprunté de l’anglais, ce terme signifie approvisionnement dans les pays à cout minime. Voici pour vous un mini-guide pour mieux le comprendre.
Low cost sourcing, de quoi parle-t-on ?
Le nom de sourcing est attribué à la méthode visant à dénicher de nouvelles sources d’approvisionnement. Très utilisé dans le monde contemporain, ce terme rappelle certaines catégories de transactions à caractère bénéfique pour l’acheteur. Ainsi parle-t-on de low cost sourcing lorsqu’il s’agit d’un achat ou d’une collaboration vers un pays où les tarifs sont moindres. Le procédé serait avantageux pour toute la chaine d’approvisionnement d’une société : il facilite toute idée de délocalisation de support. Présentement, le low cost sourcing s’est largement développé rendant accessible toute une panoplie de produits et de services au grand nombre. Pour d’amples détails, cliquez ici et parcourez les autres informations utiles concernant ce concept novateur.
Les avantages du low cost sourcing
L’approvisionnement mondial dans des pays où les prix des produits et services restent bas constitue une opportunité pour les entreprises. Non seulement cette option impacte rapidement sur leur rentabilité, mais aussi elle les permet de varier leur sourçage. En effet, si vous optez pour le low cost sourcing, vos dépenses de production se verront réduites très rapidement. De plus, les frais connaîtront une diminution conséquente, notamment ceux liés aux matières premières, aux infrastructures ou à la communication. Parallèlement, les entreprises ayant choisi cette alternative arriveront facilement à se diversifier : la pluralité des fournisseurs les aidera dans ce sens. Ce qui, corolairement, vous démarquera de vos concurrents, car vous aurez à traiter avec des pays à bas coût.
Vers quel pays se tourner ?
Les pays émergents semblent très prisés dans la liste des pays où fleurissent les sources d’approvisionnement à faible coût. Pour le moment, nul n’a pu détrôner la Chine, pays des mains-d’œuvre très bon marché. Certaines observateurs avancent toutefois une difficulté de s’implanter sur le territoire chinois et accusent une hausse des frais de transport. Progressivement, les pays issus de la région méditerranéenne voient leur côte augmenter aux yeux de certains acheteurs. Plusieurs paramètres boostent cette tendance : faible coût de la main-d’œuvre, taux de chômage élevé, construction d’infrastructures… C’est ainsi que les pays comme la Turquie, l’Algérie, le Maroc ou l’Égypte ont pu devenir plaisants en matière d’externalisation. Il convient également de noter un attrait de plus en plus poussé vers des pays comme le Mexique, le Brésil, l’Inde et aussi l’Ukraine.